Parler de tout ( V4 )
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Re: Parler de tout ( V4 )
Vous vous souvenez, de ma question sur le mot "SWAG" !
Vous m'aviez dit que lorsqu'une fille me disait que j'étais "swag", ça voulait dire qu'elle me trouvait mignon...
Mais... Mais... Mais lorsque c'est un homme qui me le dit, ça veux dire quoi, là ? ...
Vous m'aviez dit que lorsqu'une fille me disait que j'étais "swag", ça voulait dire qu'elle me trouvait mignon...
Mais... Mais... Mais lorsque c'est un homme qui me le dit, ça veux dire quoi, là ? ...
Swen- V.I.P
Re: Parler de tout ( V4 )
Ça veut pas dire mignon "swag", pour ceux qui l'utilisent "vraiment" ça veut dire "qui a du style" en gros
Mais sinon, genre comme nous on l'utilise dans mon cercle de potes, c'est pour se foutre de la gueule de quelqu'un...
Mais sinon, genre comme nous on l'utilise dans mon cercle de potes, c'est pour se foutre de la gueule de quelqu'un...
Oompheuse- V.I.P
Re: Parler de tout ( V4 )
Oompheuse a écrit:Mais sinon, genre comme nous on l'utilise dans mon cercle de potes, c'est pour se foutre de la gueule de quelqu'un...
J’espère alors que tu me trouve pas swag ...
Swen- V.I.P
Re: Parler de tout ( V4 )
Apparemment c'est un gros fake ça...Jacki a écrit:Sens premier: "Secretly we are gay"
Swen : On s'en sert pour les gens qui ont un style particulier XD ( genre les hipsters qui sont vraiment ridicules )
Oompheuse- V.I.P
Re: Parler de tout ( V4 )
Oompheuse a écrit:Swen : On s'en sert pour les gens qui ont un style particulier XD ( genre les hipsters qui sont vraiment ridicules )
Ouais, donc, en conclusion, j'ai intérêt à ne pas me montrer devant toi...
Quoi que, j'étais bien, sur mes photos !
Swen- V.I.P
Re: Parler de tout ( V4 )
Si tu vas au lycée avec du verni et qu'on te dit que tu es swag par contre, tous les sens sont possibles.
Je me demande pourquoi on donne un nom à son épée. Pour ne pas se sentir seul au combat, ou pour se sentir guidé (les deux se recoupent)...
Je me demande pourquoi on donne un nom à son épée. Pour ne pas se sentir seul au combat, ou pour se sentir guidé (les deux se recoupent)...
Ombre- V.I.P
Re: Parler de tout ( V4 )
Car une épée est un "compagnon" de combat, et comme tous compagnons, il doit avoir un nom !
L'épée est un symbole de pouvoir, auquel on confère souvent une âme, et auquel on lui donne donc un nom !
Si ça t’intéresse : Dico des épées célèbres
L'épée est un symbole de pouvoir, auquel on confère souvent une âme, et auquel on lui donne donc un nom !
Si ça t’intéresse : Dico des épées célèbres
Swen- V.I.P
Re: Parler de tout ( V4 )
Moi, si j'avais une épée, je l’appellerais "ma bite". Comme ça, au moment de tuer un ennemi, je lui dirais : "je vais t'enfoncer ma bite dans le cul!". Enfin, c'est juste une idée.
Jexterre- V.I.P
Re: Parler de tout ( V4 )
Mauvaise idée :
- Tu brise ton épée : "J'ai cassé ma bite en deux, j'ai cassé ma bite en deux ! Ma bite était rouillée, une vraie camelote".
- On te vole ton épée : "J'ai perdu ma bite, j'ai plus ma bite ! J'avais rangé ma bite dans le placard ! Que suis-je, sans ma bite ?"
- Lors des tournois : "Pas de problèmes ! Je te prête ma bite, si tu me promet d'en prendre soin ! Je sais que tu es une brute, sois donc doux avec ma bite".
- Tu brise ton épée : "J'ai cassé ma bite en deux, j'ai cassé ma bite en deux ! Ma bite était rouillée, une vraie camelote".
- On te vole ton épée : "J'ai perdu ma bite, j'ai plus ma bite ! J'avais rangé ma bite dans le placard ! Que suis-je, sans ma bite ?"
- Lors des tournois : "Pas de problèmes ! Je te prête ma bite, si tu me promet d'en prendre soin ! Je sais que tu es une brute, sois donc doux avec ma bite".
Swen- V.I.P
Re: Parler de tout ( V4 )
À y bien réfléchir, on connaît beaucoup de mots swahilis :
daktari (docteur), hakuna matata, bwana (monsieur/maître), hatari (attention), Simba (lion), etc... Ubuntu aussi, est apparenté à cette langue.
Allez savoir pourquoi, car c’est bien la seule langue africaine à rencontrer un tel succès.
Le « comment » est moins difficile à deviner. Nos connaissances en swahili viennent pour l’essentiel des médias, séries télévisées, films (Le Roi Lion de Disney est un vrai manuel : outre l’entêtant hakuna matata, on apprend aussi les mots ami, mirage, chance, païen, furtivement… qui donnent leur nom à certains personnages)...
Mais d’où les médias les ont-ils eux-mêmes appris ?
Est-ce l’influence de la colonisation de l’Afrique de l’Est à la fin du XIXe qui a tissé des liens si étroits entre l’Occident et cette langue ?
Pour les Européens, le swahili avait il est vrai l’avantage d’être une langue véhiculaire parmi les multitudes de langues maternelles parlées dans la région, une lingua franca utile pour le commerce, le prêche voire l’administration des populations.
Simple et facilement prononçable (pas de tons, ni de "clics", ni de tchip, etc), le swahili avait également le bon goût de préexister à l’invasion européenne (même si son usage était peu répandu en dehors des côtes kényanes et tanzaniennes actuelles), ce qui ne pouvait que faciliter sa propagation, même impulsée par les colons.
De ces siècles de contacts (et d’occupation), le swahili a absorbé de nombreux mots d’origine portugaise (casha de caixa, la caisse, meza de mesa, la table, padri de padre, shumburere de sombreiro…), allemande (shule de Schule, l’école) et anglaise (daktari vient de doctor, basi pour bus…).
Les langues européennes n’ont pas été aussi accueillantes : les mots swahilis que l’on connaît n’ont jamais perdu leur caractère « exotique », ils font « africains » et sont utilisés dans ce but.
Plus proche de nous, la vogue des safaris (à tir ou photographiques) est vraisemblablement un autre facteur important pour expliquer la médiatisation du swahili : maîtres des lieux, les Anglais y chassaient le grand gibier durant le premier XXe siècle, tandis que la relative stabilité politique et les infrastructures de bonne qualité ont permis au Kenya de maintenir le tourisme après leur indépendance en 1963, et notamment de perpétuer la pratique des safaris pour les touristes les plus riches - ou très influents, comme Hemingway.
Les formidables capacités d’accueil et de divertissement du pays expliquent sans doute ce cliché de l’Afrique que les médias nous ont inculqué, désert et famines à part (l’Afrique du safari, c’est l’Afrique qui ne résiste pas trop au journaliste pressé) : une savane démesurée et abondante.
On ne peut être plus loin de la diversité climatique et géographique du pays et du continent.
La diffusion des mots swahilis s’explique en tout cas plus difficilement par l’émigration de locuteurs vers l’Europe ou les États-Unis :
la région est un foyer d’émission régulier mais assez modéré : en 2009, pic migratoire sur la dernière décennie pour ce pays d’après le DHS, les Kenyans représentaient 7,8% des migrants africains qui entraient aux USA (0,9% du total des migrants sur l’année), derrière l’Éthiopie et le Nigeria 12% (l’Égypte et le Ghana sont d’habitude des foyers plus importants que le Kenya, tandis que la Tanzanie fournit peu d’immigrés en Amérique, avec seulement 2% des migrants africains en 2009).
Les Kényans se distinguent aussi par un excellent niveau d’éducation et de maîtrise de l’anglais (une des langues officielles du Kenya et de la Tanzanie avec le swahili). Moins de 2% d’entre eux retourneraient au Kenya, manifestant ainsi leur désir d’assimilation à la société américaine : il est donc peu probable que ce soit eux qui diffusent le swahili dans les médias. Il est de même douteux que cette diffusion du swahili se fasse dans les universités américaines, où les étudiants kényans sont nombreux : ils sont trop à l’aise avec l’anglais pour cela.
Pour revenir au tourisme et à la place de l’homme blanc en Afrique, la côte Est a cet ultime avantage de ne réclamer aucune compensation pour les traites négrières et les méfaits de la colonisation, et ce dans un contexte politique miné.
L’Afrique de l’Est a pourtant payé son tribut d’esclaves : elle a été le lieu d’une traite importante à partir du XVIIIe, qui se distinguait cependant du commerce triangulaire par l’origine des négriers, leurs routes et la destination des esclaves.
Tandis que les lois se succèdent au XIXe (abolition de la traite anglaise et américaine en 1807 et en 1815 pour les autres pays européens, abolition de l’esclavage en 1833 dans l’Empire britannique, en 1848 en France…), la traite négrière ne cesse pas. Son interdiction et celle de l’esclavage (1865 aux États-Unis) forcent cependant les négriers à s’adapter.
Le commerce continue clandestinement là où il est interdit (parfois avec l’assentiment des États, France en tête) tandis que les routes et les destinations changent. Le Brésil devient le principal consommateur d’esclaves, et la traite fonctionne désormais essentiellement en « droiture », c’est-à-dire que les navires partent du Brésil (pour la majorité), abordent les côtes africaines puis retournent au Brésil, sans passer par l’Europe.
En Afrique de l’Est, le commerce d’esclaves à destination du Brésil ou de la Caraïbe explose même dans la première moitié du XIXe (75 200 esclaves entre 1676 et 1800, 406 100 entre 1801 et 1867). Il reste très élevé au début de la seconde : « le nombres d’esclaves ayant transité par les ports de Zanzibar était, entre 1850 et 1860, de l’ordre de 30 000 par an. Ils étaient 40 000 lorsque la “moisson” était bonne » (Chebel). Les intermédiaires restent arabes jusqu’à la fin de ce commerce, une dizaine d’années après la conférence anti-esclavagiste de Bruxelles en 1889 (à laquelle participait Zanzibar qui deviendra l’année suivante un protectorat anglais).
Dans ce contexte, le swahili apparaît comme le pendant linguistique nécessaire d’une Afrique abstraite : les mots ont, comme les hommes, un poids historique. Si la plupart des mots que l’on trouve dans le parler américain « sont d’origine mandé ou ouolof et étaient très courants dans le parler des Noirs avant de se populariser à travers le blues, le jazz et la “Beat Culture” de la tradition musicale blanche-américaine du XXe siècle », c’est qu’ils sont des héritages de leurs ancêtres esclaves qui venaient en majorité d’Afrique de l’Ouest.
On comprend l’avantage du swahili : parce que les Africains de l’Est déportés en Amérique du Nord étaient peu nombreux, le swahili évoque moins la traite que d’autres langages africains.
Il est d’ailleurs intéressant de remarquer que la neutralité politique du swahili existe aussi en Afrique : c’est la raison pour laquelle il est langue officielle au Kenya et en Tanzanie, car il permettait de « dépasser les clivages ethniques [en] ne favorisant aucune ethnie ».
On voit à quel point le safari est une pratique confiscatoire : comme les chasseurs blancs dépossèdent les autochtones de leur gibier, le safari les exclut de leur propre continent, rendu méconnaissable par sa réduction géographique (un seul biome, la savane), linguistique et historique. L’Afrique comme pur espace de jeu, comme une fiction qui empêche toute prise politique. L’Afrique Noire blanche. On s’y amuse toujours beaucoup manifestement, à condition de s’arrêter à la surface des choses et des mots.
"Asante Sana" (Merci beaucoup) !
daktari (docteur), hakuna matata, bwana (monsieur/maître), hatari (attention), Simba (lion), etc... Ubuntu aussi, est apparenté à cette langue.
Allez savoir pourquoi, car c’est bien la seule langue africaine à rencontrer un tel succès.
Le « comment » est moins difficile à deviner. Nos connaissances en swahili viennent pour l’essentiel des médias, séries télévisées, films (Le Roi Lion de Disney est un vrai manuel : outre l’entêtant hakuna matata, on apprend aussi les mots ami, mirage, chance, païen, furtivement… qui donnent leur nom à certains personnages)...
Mais d’où les médias les ont-ils eux-mêmes appris ?
Est-ce l’influence de la colonisation de l’Afrique de l’Est à la fin du XIXe qui a tissé des liens si étroits entre l’Occident et cette langue ?
Pour les Européens, le swahili avait il est vrai l’avantage d’être une langue véhiculaire parmi les multitudes de langues maternelles parlées dans la région, une lingua franca utile pour le commerce, le prêche voire l’administration des populations.
Simple et facilement prononçable (pas de tons, ni de "clics", ni de tchip, etc), le swahili avait également le bon goût de préexister à l’invasion européenne (même si son usage était peu répandu en dehors des côtes kényanes et tanzaniennes actuelles), ce qui ne pouvait que faciliter sa propagation, même impulsée par les colons.
De ces siècles de contacts (et d’occupation), le swahili a absorbé de nombreux mots d’origine portugaise (casha de caixa, la caisse, meza de mesa, la table, padri de padre, shumburere de sombreiro…), allemande (shule de Schule, l’école) et anglaise (daktari vient de doctor, basi pour bus…).
Les langues européennes n’ont pas été aussi accueillantes : les mots swahilis que l’on connaît n’ont jamais perdu leur caractère « exotique », ils font « africains » et sont utilisés dans ce but.
Plus proche de nous, la vogue des safaris (à tir ou photographiques) est vraisemblablement un autre facteur important pour expliquer la médiatisation du swahili : maîtres des lieux, les Anglais y chassaient le grand gibier durant le premier XXe siècle, tandis que la relative stabilité politique et les infrastructures de bonne qualité ont permis au Kenya de maintenir le tourisme après leur indépendance en 1963, et notamment de perpétuer la pratique des safaris pour les touristes les plus riches - ou très influents, comme Hemingway.
Les formidables capacités d’accueil et de divertissement du pays expliquent sans doute ce cliché de l’Afrique que les médias nous ont inculqué, désert et famines à part (l’Afrique du safari, c’est l’Afrique qui ne résiste pas trop au journaliste pressé) : une savane démesurée et abondante.
On ne peut être plus loin de la diversité climatique et géographique du pays et du continent.
La diffusion des mots swahilis s’explique en tout cas plus difficilement par l’émigration de locuteurs vers l’Europe ou les États-Unis :
la région est un foyer d’émission régulier mais assez modéré : en 2009, pic migratoire sur la dernière décennie pour ce pays d’après le DHS, les Kenyans représentaient 7,8% des migrants africains qui entraient aux USA (0,9% du total des migrants sur l’année), derrière l’Éthiopie et le Nigeria 12% (l’Égypte et le Ghana sont d’habitude des foyers plus importants que le Kenya, tandis que la Tanzanie fournit peu d’immigrés en Amérique, avec seulement 2% des migrants africains en 2009).
Les Kényans se distinguent aussi par un excellent niveau d’éducation et de maîtrise de l’anglais (une des langues officielles du Kenya et de la Tanzanie avec le swahili). Moins de 2% d’entre eux retourneraient au Kenya, manifestant ainsi leur désir d’assimilation à la société américaine : il est donc peu probable que ce soit eux qui diffusent le swahili dans les médias. Il est de même douteux que cette diffusion du swahili se fasse dans les universités américaines, où les étudiants kényans sont nombreux : ils sont trop à l’aise avec l’anglais pour cela.
Pour revenir au tourisme et à la place de l’homme blanc en Afrique, la côte Est a cet ultime avantage de ne réclamer aucune compensation pour les traites négrières et les méfaits de la colonisation, et ce dans un contexte politique miné.
L’Afrique de l’Est a pourtant payé son tribut d’esclaves : elle a été le lieu d’une traite importante à partir du XVIIIe, qui se distinguait cependant du commerce triangulaire par l’origine des négriers, leurs routes et la destination des esclaves.
Tandis que les lois se succèdent au XIXe (abolition de la traite anglaise et américaine en 1807 et en 1815 pour les autres pays européens, abolition de l’esclavage en 1833 dans l’Empire britannique, en 1848 en France…), la traite négrière ne cesse pas. Son interdiction et celle de l’esclavage (1865 aux États-Unis) forcent cependant les négriers à s’adapter.
Le commerce continue clandestinement là où il est interdit (parfois avec l’assentiment des États, France en tête) tandis que les routes et les destinations changent. Le Brésil devient le principal consommateur d’esclaves, et la traite fonctionne désormais essentiellement en « droiture », c’est-à-dire que les navires partent du Brésil (pour la majorité), abordent les côtes africaines puis retournent au Brésil, sans passer par l’Europe.
En Afrique de l’Est, le commerce d’esclaves à destination du Brésil ou de la Caraïbe explose même dans la première moitié du XIXe (75 200 esclaves entre 1676 et 1800, 406 100 entre 1801 et 1867). Il reste très élevé au début de la seconde : « le nombres d’esclaves ayant transité par les ports de Zanzibar était, entre 1850 et 1860, de l’ordre de 30 000 par an. Ils étaient 40 000 lorsque la “moisson” était bonne » (Chebel). Les intermédiaires restent arabes jusqu’à la fin de ce commerce, une dizaine d’années après la conférence anti-esclavagiste de Bruxelles en 1889 (à laquelle participait Zanzibar qui deviendra l’année suivante un protectorat anglais).
Dans ce contexte, le swahili apparaît comme le pendant linguistique nécessaire d’une Afrique abstraite : les mots ont, comme les hommes, un poids historique. Si la plupart des mots que l’on trouve dans le parler américain « sont d’origine mandé ou ouolof et étaient très courants dans le parler des Noirs avant de se populariser à travers le blues, le jazz et la “Beat Culture” de la tradition musicale blanche-américaine du XXe siècle », c’est qu’ils sont des héritages de leurs ancêtres esclaves qui venaient en majorité d’Afrique de l’Ouest.
On comprend l’avantage du swahili : parce que les Africains de l’Est déportés en Amérique du Nord étaient peu nombreux, le swahili évoque moins la traite que d’autres langages africains.
Il est d’ailleurs intéressant de remarquer que la neutralité politique du swahili existe aussi en Afrique : c’est la raison pour laquelle il est langue officielle au Kenya et en Tanzanie, car il permettait de « dépasser les clivages ethniques [en] ne favorisant aucune ethnie ».
On voit à quel point le safari est une pratique confiscatoire : comme les chasseurs blancs dépossèdent les autochtones de leur gibier, le safari les exclut de leur propre continent, rendu méconnaissable par sa réduction géographique (un seul biome, la savane), linguistique et historique. L’Afrique comme pur espace de jeu, comme une fiction qui empêche toute prise politique. L’Afrique Noire blanche. On s’y amuse toujours beaucoup manifestement, à condition de s’arrêter à la surface des choses et des mots.
"Asante Sana" (Merci beaucoup) !
Swen- V.I.P
Re: Parler de tout ( V4 )
Eh beh quel pavé... Mais je t'avouerais que pour moi aussi, l'Afrique, c'était la savane, le désert et... l'Éthiopie. Parce qu'il y a un épisode de Sur la Terre des monstres disparus dessus.
Ombre- V.I.P
Re: Parler de tout ( V4 )
Il est pourtant très intéressant, cet exposé sur la langue swahili ...
Swen- V.I.P
Re: Parler de tout ( V4 )
Delivery to international addresses can take between 1 and 6 weeks.
Et pourquoi pas 2 mois, tant qu'on y est ?!?
Lorsque je commande depuis le Japon (à l'autre bout de la planète) et en tarif lent, je reçois mes colis en 3 semaines !
Il va pas me faire avaler qu'il faut 6 semaines pour relier les Etats-Unis à la France ?
Ses 6 semaines, c'est bon pour le trajet PulauSelu à Kugluktuk ! Il faut pas déconner !
Swen- V.I.P
Re: Parler de tout ( V4 )
Il a bien fallut 2mois pour transférer Träumst Du de Rome jusque chez moi...
Ombre- V.I.P
Re: Parler de tout ( V4 )
C'est comme ça, des États-Unis, c'est très très long ! Je ne sais pas si ils font ça par bateau, avec des escales sur chaque île qu'ils croisent, mais ça dur en effet 600 ans !
Not The Messiah- Modérateur
Re: Parler de tout ( V4 )
DEUX MOIS ? Pour un colis venant de Rome ? ...
Il y a surement eu une merde quelque part, c'est pas possible...
--- --- ---
Le USS Coque-de-noix ?
Ça fait un long moment, que la poste américaine favorise le transport aérien, plutôt que le transport maritime (à part pour les arrivages commerciaux, comme les nouveaux iPad)... ^_^
Le transport maritime est très long, et extrêmement coûteux (pour seulement 4 livres)... De mémoire, voici les différents frais qui s'ajoutent au transport par fret :
Les assurances non obligatoires + assurance maritime obligatoire de 1,25% de la valeur déclarée + documents administratifs + frais de débarquement au port + dédouanement de 10% sur la valeur déclarée de la cargaison + TVA + Droit de port + ...
Jusqu'à maintenant, j'ai jamais attendu plus de 2 semaines, pour une commande américaine !
Encore ce weekend, j'ai passé une commande sur Amazone.com, et mon colis arrivera le weekend prochain !
Il y a surement eu une merde quelque part, c'est pas possible...
--- --- ---
Le USS Coque-de-noix ?
Ça fait un long moment, que la poste américaine favorise le transport aérien, plutôt que le transport maritime (à part pour les arrivages commerciaux, comme les nouveaux iPad)... ^_^
Le transport maritime est très long, et extrêmement coûteux (pour seulement 4 livres)... De mémoire, voici les différents frais qui s'ajoutent au transport par fret :
Les assurances non obligatoires + assurance maritime obligatoire de 1,25% de la valeur déclarée + documents administratifs + frais de débarquement au port + dédouanement de 10% sur la valeur déclarée de la cargaison + TVA + Droit de port + ...
Jusqu'à maintenant, j'ai jamais attendu plus de 2 semaines, pour une commande américaine !
Encore ce weekend, j'ai passé une commande sur Amazone.com, et mon colis arrivera le weekend prochain !
Swen- V.I.P
Re: Parler de tout ( V4 )
Vous pensez connaître les quatre coins de notre chère planète ?
Si c'est le cas, testez-vous grâce à GeoGuessr.fr
Créé par le développeur suédois Anton Wallén, ce site utilise les images de Google Street View, service qui nous permet d'afficher une vue panoramique à 360°.
Le principe est très simple :
Une image apparaît, vous pouvez vous déplacer, regarder autour de vous pour essayer de trouver un détail (un monument, une pancarte avec la langue du pays, etc)...
Une fois que vous avez une idée, ou pas d'ailleurs, vous placez un marqueur sur la carte... Plus vous êtes proche de l'endroit en question, plus vous gagnez de point...
Si c'est le cas, testez-vous grâce à GeoGuessr.fr
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Une image apparaît, vous pouvez vous déplacer, regarder autour de vous pour essayer de trouver un détail (un monument, une pancarte avec la langue du pays, etc)...
Une fois que vous avez une idée, ou pas d'ailleurs, vous placez un marqueur sur la carte... Plus vous êtes proche de l'endroit en question, plus vous gagnez de point...
Swen- V.I.P
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